Tribune by Fabrice Lorvo, partner, about the learnings from the Ghosn case on business in terms of communication, reputation and ethics.
“Il est déjà possible de tirer quelques enseignements de la mise en garde à vue, le 19 novembre, au Japon, de Carlos Ghosn, PDG de l’alliance automobile Renault-Nissan-Mitsubishi Motors. Le premier est que le patron qui a cherché ou obtenu la notoriété médiatique reste un débiteur permanent vis-à-vis des médias. Le numérique replace l’image (ou l’icône ?) au cœur de notre société, et il faut systématiquement brûler ce que l’on a adoré. Ce n’est d’ailleurs pas une nouveauté car on sait depuis les Romains qu’il n’y a pas loin du Capitole à la roche Tarpéienne. Ce qui étonne, c’est l’ampleur donnée au phénomène. L’arrestation de Carlos Ghosn a été mondialement commentée et tous évoquent la déchéance d’un patron de la mondialisation au mépris de la présomption d’innocence. Le fait que son arrestation à la descente de son avion privé se soit passée face à des caméras a probablement participé à ce phénomène…”
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